Les partenariats écoresponsables

Dans le cadre de sa politique de développement durable, Vermilion développe des partenariats à forte valeur ajoutée pour les territoires qui abritent ses activités, à proximité de champs pétroliers qu’elle exploite. L’extraction pétrolière sur les concessions de Vermilion est un résultat d’huile (pétrole), de gaz et d’eau (énergies secondaires « associées »).

Valorisation d'eau : chauffage d'éco-serre de production de tomate

Dans les Landes, à Parentis-en-Born, depuis 2008, Vermilion chauffe gratuitement et pendant 25 ans, 15 hectares de serres horticoles (éco-serres) grâce aux calories récupérées de l’eau issue de son processus de production de pétrole. Le partenariat a été signé avec Tom d’Aqui, agriculteurs désireux de créer une serre viable sur le plan économique et écologique afin d’y faire pousser des tomates (membre du groupe Rougeline).

Aujourd’hui, 7 500 tonnes de tomates poussent chaque année, 250 personnes locales travaillent et les émissions de dioxyde de carbone sont réduites considérablement (moins 10 000 tonnes par an).

Comment ça fonctionne ?

L’extraction pétrolière de Vermilion faite sur la concession de Parentis est un résultat d’huile, de gaz et d’eau naturellement chauffée autour de 60°C.
Après la séparation de ces 3 produits issus du sous-sol, l’eau chaude entre dans un circuit fermé où un échangeur thermique transfère l’énergie calorifique dans un deuxième circuit fermé appartenant à Tom d’Aqui (les eaux contenues dans ces deux systèmes n’entrent jamais en contact).
Le second circuit fermé chauffe les éco-serres de Tom d’Aqui situées à côté du dépôt de Parentis.
Vermilion réutilise l’eau extraite en l'injectant de nouveau dans ses gisements au travers de ses puits (en aucun cas cette eau n'est en contact avec les nappes phréatiques). Ce procédé sert à maintenir la pression dans le gisement et à continuer sa production de pétrole.
La réussite de ce projet écologique, sociétal et économique, qui tire profit d’une ressource énergétique inutilisée auparavant, a donné lieu à des extensions et implantations d’autres éco-serres à proximité. En moins de 10 ans :

1. 1. 1. 4 éco-serres construites (27 ha)
    2. 35 millions d’euros investis en milieu rural
    3. 15 000 tonnes par an de tomates produites
    4. 15 000 tonnes par an de CO² économisées chaque année
    5. 350 emplois tertiaires créés

Distinctions obtenues grâce à ce projet :

Prix de l’économie circulaire en matière d’écologie industrielle et territoriale reçu en décembre 2013 des mains du Ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, M. Philippe Martin.
Parmi les 3 lauréats de la catégorie Energies renouvelables du Trophée de la transition énergétique du magazine l’Usine Nouvelle de mai 2015.

Valorisation d'eau : chauffage d'un éco-quartier

En Gironde, à La Teste de Buch, depuis 2016, Vermilion participe au projet de construction d’un éco-quartier. Vermilion chauffe gratuitement et pendant 30 ans, 550 logements grâce aux calories récupérées de l’eau issue de son processus de production de pétrole.

Sur le site d’un ancien hôpital se construit actuellement le premier éco-quartier du Bassin d’Arcachon. Ce projet, porté par des partenaires institutionnels (Mairie–Domofrance), industriels (Engie–Vermilion) et immobiliers (Pichet), incarne la volonté partagée de créer un espace de vie fonctionnel, évolutif, intégré à son milieu naturel, qui valorise le patrimoine et les ressources du territoire.

Sur une période de 30 ans, Vermilion fournira 80% de l’énergie nécessaire au chauffage de ces logements grâce à la récupération de l’énergie calorifique issue de l’eau de son processus de production de pétrole à proximité du site (jusqu’alors, cette énergie « secondaire » n’était pas utilisée).

Les 20% complémentaires seront fournis par le biais de l’utilisation de solutions alternatives comme le gaz issu de la biomasse grâce à une chaudière à pellets.

Comment ça fonctionne ?

L’extraction pétrolière de Vermilion faite sur la concession Les Arbousiers est un résultat d’huile, de gaz et d’eau naturellement chauffée autour de 65°C.
Après la séparation de ces 3 produits issus du sous-sol, l’eau chaude entre dans un circuit fermé où un échangeur thermique transfère l’énergie calorifique issue de cette eau dans un deuxième circuit fermé appartenant à l’écoquartier (les eaux contenues dans ces deux systèmes n’entrent jamais en contact).
Le second circuit fermé chauffe l’éco-quartier situé à proximité du dépôt Les Arbousiers.
Vermilion réutilise l’eau extraite en l'injectant de nouveau dans ses gisements au travers de ses puits (en aucun cas cette eau n'est en contact avec les nappes phréatiques). Ce procédé sert à maintenir la pression dans le gisement et à continuer sa production de pétrole.

Valorisation de l'eau : chauffage d'un lycée

En Gironde, à Arcachon, depuis début 2022, Vermilion chauffe pour 18 années, le lycée des Métiers Condorcet à Arcachon grâce aux calories récupérées de l’eau issue de son processus de production de pétrole. Le projet a été financé par la région Nouvelle-Aquitaine et l’Agence de l’Innovation européenne (ce projet a reçu un financement du programme de recherche et d’innovation « Horizon 2020 » de l’Union Européenne dans le cadre de la convention de subvention n° 792037).

Aujourd’hui, le Lycée Condorcet a abandonné le chauffage au gaz pour privilégier l’utilisation de chaleur géothermique de Vermilion.

L’extraction pétrolière de Vermilion faite sur la concession des Pins est un résultat d’huile, de gaz et d’eau naturellement chauffée autour de 60°C.
Après la séparation de ces 3 produits issus du sous-sol, l’eau chaude entre dans un circuit fermé où un échangeur thermique transfère l’énergie calorifique dans un deuxième circuit fermé appartenant au Lycée (les eaux contenues dans ces deux systèmes n’entrent jamais en contact).
Le second circuit fermé chauffe le lycée situé à côté du site des Pins de Vermilion.
Vermilion réutilise l’eau extraite en l'injectant de nouveau dans ses gisements au travers de ses puits (en aucun cas cette eau n'est en contact avec les nappes phréatiques). Ce procédé sert à maintenir la pression dans le gisement et à continuer sa production de pétrole.
La réussite de ce projet écologique, sociétal et économique, qui tire profit d’une ressource énergétique inutilisée auparavant, permet de :

Pour le lycée : Réduire considérablement ses coûts d’énergie (Vermilion fournit 100% du chauffage – (en cas de besoin, le gaz prend le relai), réduire ses émissions de CO2 : 190 T/an (prévisionnel), et bénéficier d’outils pédagogiques concrets.

Pour Vermilion: Valoriser une énergie secondaire, et Contribuer activement à la dynamique énergétique durable du territoire.

Lycée Condorcet (Gironde-Bassin Aquitain)

Système d'échange de chaleur sur le site "Les Pins"

Valorisation d'eau : chauffage d'une unité de production de spiruline

Fleur de Vie (Pyrénées-Atlantiques – Bassin Aquitain) : Une première en France. Dans les Pyrénées-Atlantiques, à Burosse-Mendousse, depuis fin 2021, Vermilion chauffe pour 19 années, une unité de production de spiruline « safe » (microalgue de très grande qualité – un processus qui allie sécurité alimentaire et traçabilité totale) grâce aux calories récupérées de l’eau issue de son processus de production de pétrole.

Alors que le secteur des microalgues pour la nutrition est en pleine croissance au niveau mondial, Fleur de Vie crée sa première unité de production de microalgues en photobioréacteurs dans le Béarn, qu’elle chauffe grâce à la chaleur géothermique de Vermilion. A terme, Fleur de Vie devrait produire, dans ses 3 000 m² de serres, 50 tonnes/an de spiruline, créer une dizaine d’emplois et développer des savoir-faire uniques (emploi qualifiés).

Ce projet innovant a pu être réalisé avec le concours de partenaires comme Labeliance Business Solutions, la Région Nouvelle-Aquitaine, l’Europe (FEAMP), BPIfrance, le Département des Pyrénées-Atlantiques ou encore la Communauté de communes des Luys en Béarn.

L’extraction pétrolière de Vermilion faite sur la concession de Vic Bilh est un résultat d’huile, de gaz et d’eau naturellement chauffée autour de 60°C.

Après la séparation de ces 3 produits issus du sous-sol, l’eau chaude entre dans un circuit fermé où un échangeur thermique transfère l’énergie calorifique dans un deuxième circuit fermé appartenant à Fleur de Vie (les eaux contenues dans ces deux systèmes n’entrent jamais en contact).
Le second circuit fermé chauffe les installations de Fleur de Vie, situées à côté du site de Vic Bilh de Vermilion.
Vermilion réutilise l’eau extraite en l'injectant de nouveau dans ses gisements au travers de ses puits (en aucun cas cette eau n'est en contact avec les nappes phréatiques). Ce procédé sert à maintenir la pression dans le gisement et à continuer sa production de pétrole.

La réussite de ce projet écologique, sociétal et économique, qui tire profit d’une ressource énergétique inutilisée auparavant, permet de :

Pour Fleur de Vie :

Utiliser une ressource locale Permettre à la France de limiter l’import en produisant 50 tonnes/an, ce qui correspond à la production française actuelle (les 50 tommes produites chaque année par les 150 spiruliniens sont désormains insuffisantes par rapport à la demande. Réduire considérablement ses coûts d’énergie et être compétitifs sur le marché. Et réduire ses émissions de CO2.

Pour Vermilion

Valoriser une énergie secondaire. Et contribuer activement à la dynamique énergétique durable du territoire.

De gauche à droite : Installations de Vermilion (64) et Installations de Fleur de Vie.

Valorisation du gaz : autoconsommation d'électricité

Dans les Pyrénées-Atlantiques, sur la concession pétrolière de Vic-Bilh (commune de Vialer), depuis fin 2021, Vermilion autoalimente en électricité deux de ses installations (près de 10 puits) grâce à la valorisation du gaz « associé » issu de sa production de pétrole.

Vermilion souhaitait développer une solution qui soit à la fois le reflet de son excellence opérationnelle et également celui de son engagement à se positionner comme un leader en terme de durabilité opérationnelle.

Nous avons développé une solution technique :

Nous avons mis en place 6 micro-turbines, sur notre site « cluster 2 » qui nous permettent de valoriser une des énergies secondaires à notre production de pétrole, le gaz « associé », et de produire de l’électricité pour notre propre consommation. En effet, l’extraction pétrolière de Vermilion faite sur la concession de Vic-Bilh est un résultat d’huile (ou pétrole brut), de gaz et d’eau chaude.

1. 1. 1. le pétrole est acheminé vers les raffineries
    2. l’eau est réinjectée dans le sous-sol pour maintenir la pression dans son gisement et continuer sa production,
    3. le gaz est traité dans un oxydateur .

La réussite de ce projet écologique, sociétal et économique, qui tire profit d’une ressource énergétique inutilisée auparavant, permet de :

Pour Vermilion : Valoriser une énergie secondaire. Contribuer activement à la dynamique énergétique durable du territoire. Réduire considérablement nos coûts d’énergie.

Emplacement des micro-turbines Vermilion sur le cluster 2 - Commune de Vialer

Micro-turbines

D’autres initiatives sont à l’étude pour valoriser les potentiels énergétiques de chaque site.

Vermilion est l’opérateur de la concession pétrolière «Les Pins» (détenue avec IPC Petroleum Gascogne SNC) Pour réduire au maximum les impacts des travaux nécessaires à l’implantation de deux canalisations entre le site pétrolier et le lycée, le tracé retenu était issu de la concertation entre Vermilion, , les propriétaires des parcelles traversées (Mairie d’Arcachon et COBAS), les gestionnaires des réseaux souterrains existants et l’ONF en tenant compte des contraintes environnementales, techniques et foncières. De plus, un boisement compensateur a été convenu avec la commune d’Arcachon : les 5 arbres coupés ont été remplacés).

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